Cet article explore le rôle croissant des technologies numériques dans la gestion des migrations en Europe, en mettant l’accent sur l’intelligence artificielle (IA), la biométrie et les systèmes de surveillance. Ces outils sont de plus en plus utilisés pour contrôler les frontières, vérifier les identités et traiter les demandes d’asile, avec la promesse d’une plus grande efficacité et sécurité. Cependant, leur généralisation suscite des inquiétudes majeures d’un point de vue éthique et juridique. Des problématiques telles que la protection des données personnelles, les biais algorithmiques et les risques de violations des droits fondamentaux alimentent les débats parmi les décideurs politiques, les organisations de défense des droits de l’homme et la société civile.
The study highlights the pressing need for a balanced approach—one that harnesses the benefits of digital innovation while safeguarding migrants’ rights and ensuring that technology does not become a means of exclusion or discrimination. Transparency, legal safeguards, and independent oversight mechanisms are essential to prevent misuse and ensure compliance with international human rights standards.
Alors que les politiques migratoires numériques continuent d’évoluer, cette réflexion est primordiale pour garantir des stratégies de contrôle des frontières justes et humaines. En favorisant un dialogue entre gouvernements, développeurs technologiques et défenseurs des droits, les décideurs politiques peuvent s’assurer que la technologie soit utilisée comme un outil de protection et non de répression.
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